Changer de bureau. Emménager dans un nouvel immeuble. Visiter un proche à l’hôpital. Aller à un entretien au 10ᵉ étage.
Et sentir la gorge se nouer rien qu’à l’idée… de prendre l’ascenseur.
Ce type de peur est fréquent, souvent invisibilisé. Elle peut être gênante, invalidante, voire handicapante quand elle interfère avec la vie quotidienne ou professionnelle. Et bonne nouvelle : des solutions existent.
Une peur bien réelle
La peur de l’ascenseur ne se limite pas à un simple inconfort. Elle peut déclencher une réaction intense, disproportionnée, incontrôlable :
- Palpitations, nausées, sensation d’étouffer
- Besoin urgent de sortir
- Crainte de « perdre le contrôle », de paniquer ou de s’évanouir
- Anticipation anxieuse avant même d’approcher l’ascenseur
Certaines personnes n’en parlent à personne, ou organisent toute leur vie pour éviter les situations problématiques : monter dix étages à pied, refuser un logement, renoncer à un poste.
Ce que vous pouvez faire pour vous aider à avancer
Elle peut avoir différentes origines :
- Un événement marquant ou traumatique (panne, enfermement…)
- Une claustrophobie généralisée, qui concerne tous les petits espaces
- Une peur plus profonde : de suffoquer, d’être seul(e), de mourir, de perdre le contrôle
Parfois, il n’y a aucun souvenir conscient : mais le corps, lui, se souvient…
Quand la peur bloque dans le monde professionnel
Cette phobie devient particulièrement pesante quand :
- Vous déménagez dans un bureau en étage élevé
- Votre lieu de travail change (nouveaux locaux, coworking, hôpital, tour…)
- Vous limitez vos opportunités pour éviter d’avoir à prendre l’ascenseur
- Vous vous sentez incompris(e) ou honteux(se) d’avoir “encore cette peur-là”
On parle alors d’un évitement conditionné : le cerveau fait tout pour vous protéger d’un “danger”… même s’il n’est plus réel.
Thérapies brèves : observer, désensibiliser, transformer
Il ne s’agit pas de vous “forcer” à prendre l’ascenseur pour affronter votre peur.
Mais de changer votre réaction émotionnelle et corporelle en amont, pour retrouver un sentiment de sécurité intérieure.
Je vous propose un accompagnement basé sur :
EMDR (désensibilisation et retraitement de l’information)
- Pour désactiver la mémoire émotionnelle associée à cette peur
- Pour travailler à la fois l’image mentale, les sensations et les croyances associées
- En 4 à 5 séances minimum
Hypnose ericksonienne
- Pour agir sur les circuits inconscients
- Pour restaurer des ressources de calme, de sécurité, de maîtrise
- Pour permettre au corps de ne plus réagir par défaut à l’alerte
PNL (programmation neuro-linguistique)
- Pour modifier la perception de la situation
- Pour créer des ancrages corporels positifs
Pour redonner du pouvoir d’action face à une situation qui fige.
Reprendre l’ascenseur ne sera peut-être jamais agréable… mais cela peut devenir possible, neutre, non angoissant.
L’objectif n’est pas d’aimer ça, mais de ne plus en souffrir.
En visio ou en cabinet à Paris : un accompagnement respectueux de votre rythme
Vous vivez avec cette peur depuis longtemps ?
Vous traversez une période de transition (nouvel emploi, déménagement, changement de cadre) qui la réactive ?
Vous aimeriez simplement pouvoir en parler sans jugement, explorer des pistes pour aller mieux ?
Prenez rendez-vous ici pour une première séance.
